Journée mondiale contre la faim

Le dimanche 15 juin dernier, la journée mondiale contre la faim a été célébrée à travers toute la planète. Les actions et œuvres humanitaires y afférent sont menés depuis belles lurettes par des organismes dépendant de l’ONU ou des organismes privés qui se chargent du domaine de la nourriture et de l’alimentation de la population mondiale. Et si beaucoup pensent que les personnes concernées par cette « faim » se situent notamment dans les pays sous-développés ou en développement, on a enregistré dernièrement qu’un bon effectif de la population française vive dans des situations alarmantes.

Journée mondiale contre la faim

En effet, selon les enquêtes menées par l’organisation des médecins du monde, de nombreux Français vivent « affamés ». Les personnes concernées par ce problème sont celles qui sont en situation précaires notamment les immigrés. Selon les informations publiées par cet organisme, ces personnes ont vraiment de la peine à trouver de quoi se nourrir et à recevoir une aide alimentaire de la part des ONG. . Ce problème est dû à un manque de communication d’informations sur ces ONG bienfaiteurs. Sur les 346 personnes interrogées dont la majorité sont des migrants, 78% affirment être en situation d’insécurité alimentaire suite à de problèmes financiers. Par ailleurs, plus de 60% de ces personnes enquêtées indiquent dépenser quotidiennement moins de 3,5 euros pour l’alimentation. Ainsi, les représentants des médecins du monde incitent les personnes concernées par ce problème d’alimentation à s’informer sur leurs droits afin de bénéficier d’une aide alimentaire de la part des organismes humanitaires.

Suite à cette insuffisance alimentaire, beaucoup de ces personnes présentaient une pathologie due aux carences aux nutriments nécessaires pour l’homme.

Par ailleurs, les membres de l’organisme Médecins du monde incitent les autorités compétentes à développer plus les actions sur les aides humanitaires et réaliser des projets pour faciliter l’accès à l’eau potable et donner un minimum d’hygiène pour les personnes vulnérables.